Les immergés
Les Immergés , ce sont Thibault et Sylvain, 2 étudiants partis 3 mois à vélo avec leurs sacs de 40 kilos et leurs rêves d’aventure.
La première étape, c’était au Pérou. 30 jours dans la cordillère des Andes à 4000m d’altitude pour relier La Paz et Lima. Mais avec la crise sanitaire, ils ont dû finir leur aventure en France. Mêmes vélos, mêmes rêves : 2 mois pour relier Strasbourg et Nice et réaliser en chemin des "micro-immersions" chez des agriculteurs.
Petit retour sur cette aventure, leurs galères et les difficultés physiques qu’ils ont pu aborder plutôt sereinement avec HEYME.
« La première leçon c’est d’équilibrer son voyage »
Une des premières leçons de cette aventure, c’est qu’il est primordial de varier le rythme et d’alterner journées sportives et journées de pause. Ça parait évident, mais équilibrer son voyage permet d’une part de tenir physiquement et d’autre part de ne pas se lasser.
Après 15 jours de vélo au Pérou, on n’avait qu’une hâte : arriver le plus rapidement possible à Cusco, notre prochaine étape.
On en avait déjà marre. On était exténués, les muscles ankylosés, et on s’écroulait dans nos sacs de couchage à 19h, pleins de courbatures. A ce moment-là, on dormait 11h par nuit. Bref, on avait clairement sous-estimé l’effort et surtout l’altitude (certains cols étaient à 4 800 mètres), et quand on n’est pas habitué, eh bien, c’est délicat.
Si vous êtes plusieurs, le conseil c’est de s’adapter au rythme de celui qui se sent le moins bien, généralement ça change en fonction des jours, et ça ne sert à rien de forcer au risque de se blesser.
Faire une aventure d’itinérance en vélo, c’est s’exposer à des complications physiques mais aussi matérielles. On a eu la chance de ne pas se blesser, en revanche on a déchiré une pièce de notre vélo au bout du 5 e jour, ce qui nous a fait perdre une bonne journée pour trouver un réparateur et la pièce manquante.
« Il a gonflé du visage durant une journée, avec des difficultés respiratoires »
Au-delà des douleurs musculaires liées au sport, ou des problèmes de matériel, il peut également y avoir des problèmes de santé inattendus. Et ces complications sont les plus délicates à gérer.
On en a rencontré trois pendant cette aventure.
La première était liée à l’altitude, Sylvain a mal réagi au manque d’oxygène et a eu des vertiges et des troubles visuels les premiers jours. Même si ces maux se sont rapidement dissipés, on a envisagé à plusieurs reprises d’arrêter temporairement le projet.
Thibault quant à lui a probablement attrapé un virus dès la 2e semaine. Durant 24h, il a eu frissons, sueurs et grosse fièvre, ce qui a retardé une seconde fois notre avancée.
Enfin le dernier élément marquant fut la réaction allergique de Sylvain, qui a eu la bonne idée de passer sa journée à caresser un veau tout juste né la veille. La réaction n’a pas tardé à se manifester, il a très vite gonflé du visage, et on a eu peur que cela ne dégénère en une inflammation des voies respiratoires.
Dans ce genre de situation, on était bien contents d’avoir du bon matos (dont des petits stylos d’adrénaline), de connaître quelques gestes de premier secours, et de savoir qu’on pouvait se faire rapatrier à tout moment si les choses dégénéraient. En d’autres termes, c’est rassurant d’avoir une bonne assurance ! Merci HEYME, on a survécu !
« L’avantage d’alterner c’est qu’on ne se lasse pas du vélo. »
Sur le projet France, on a décidé de ne pas faire la même erreur cette fois-ci. On est donc partis sur un mix vélo & immersions woofing. C’était beaucoup plus équilibré et agréable.
Le woofing, pour ceux qui ne connaissent pas, ce sont des expériences chez un agriculteur où l'on est nourri et logé en échange de 4h de travaux manuels par jour. Bon ok, ça peut être 6-8 heures par jour, etpuis attendez-vous à faire du désherbage. Mais ça valait clairement le coup, surtout pour ces moments de partage très forts avec nos hôtes. Même si les tâches sont physiques, ça reste plus léger qu’une ascension du col du Galibier avec 40 kilos de bagages.
L’avantage d’alterner c’est qu’on ne se lasse pas du vélo. On faisait grand maximum 4 jours de vélo d’affilée avant de rejoindre une nouvelle expérience woofing. Et puis physiquement, ça change tout. On n’aurait probablement pas tenu un Strasbourg Nice sans ces pauses. Après, si jamais le woofing ne vous tente pas, il y a plein d'alternatives: des journées de canoë, balade, bivouac, ou simplement repos... A vous de choisir !
L’effort physique, les rencontres, et la découverte de métiers « alternatifs » et passionnants ont fait de cette aventure une expérience extrêmement enrichissante. Sans avoir la prétention d’avoir « grandis », ce projet aura sans aucun doute un impact sur nos choix de vie et nos engagements futurs. On encourage ceux qui souhaitent se lancerà le faire même pour un weekend ! La récompense n’a pas de prix, le tout avec la bonne assurance évidement ;)
Découvrez le premier épisode des immergés !
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